Comment se lancer comme réalisateur freelance à Nantes ? Partagez vos expériences et conseils !

Pour compléter les infos, je te conseille de jeter un oeil à cette vidéo. Ça vulgarise bien le métier de vidéaste et les tenants et aboutissants.

Ça peut t'aider à y voir plus clair sur les différentes facettes du job et ce que ça implique concrètement.

Merci Teddy pour la vidéo, je vais regarder ça attentivement. En fait, ce qui m'inquiète le plus, c'est de savoir si c'est réaliste de démarrer sans avoir un gros portfolio ou des contacts dans le milieu. Est-ce que certains ont réussi à percer en partant de zéro ?

Hello ! Pour répondre à ta question, Echo17, c'est tout à fait jouable de démarrer sans portfolio bétonné ou un carnet d'adresses bien rempli. L'astuce, selon moi, c'est de se constituer un portfolio *au fur et à mesure*. Tu peux commencer par proposer tes services à des tarifs hyper compétitifs (voire gratuits au début) à des petites entreprises, des associations, ou même des amis qui ont besoin de vidéos pour leurs réseaux sociaux. Le but, c'est d'accumuler des projets concrets et de montrer ce que tu sais faire. Ensuite, n'hésite pas à participer à des concours de courts-métrages ou des événements locaux. Ça peut te faire gagner en visibilité et te permettre de rencontrer d'autres professionnels du secteur. Et surtout, soignes ta présence en ligne (site web, réseaux sociaux) pour que les clients potentiels puissent facilement trouver ton travail et te contacter. C'est un peu de boulot au début, mais ça peut vraiment payer sur le long terme !

Alors, Echo17, partir de zéro, c'est le lot de beaucoup, hein. Faut pas se décourager d'entrée. Aria91 a raison, faut se créer des opportunités, même si ça veut dire bosser quasi gratos au début. C'est le fameux "travailler pour sa pomme", mais au moins, t'as de la matière à montrer. Perso, je trouve ça plus pertinent qu'un diplôme ronflant sans rien derrière. Et pour répondre à ta question sur les contacts, oui, c'est toujours plus facile avec un réseau, mais c'est pas une condition sine qua non. Le bouche-à-oreille, ça marche encore pas mal. Faut juste oser se lancer et démarcher, même si c'est intimidant au début. 😉 Par contre, un truc auquel je pense, et personne n'en parle, c'est l'aspect commercial. Être réalisateur, c'est pas juste savoir manier une caméra. Faut savoir vendre ses services, établir des devis, gérer sa compta, etc. C'est une vraie casquette d'entrepreneur qu'il faut endosser. Moi, je connais pas mal de créatifs super doués qui se plantent parce qu'ils négligent cet aspect. En parlant de Nantes, je me demande si tu as regardé ce réalisateur freelance à Nantes. Il est bien référencé, peut-être que ça peut t'inspirer. Après, au niveau du matos, c'est un serpent qui se mord la queue. Tu peux démarrer avec un truc correct, mais rapidement, tu vas être limité. Faut voir ce que tu veux faire comme type de vidéos. Si c'est pour du mariage, faudra un truc plus performant que si tu fais des petites vidéos pour les réseaux sociaux. 📸 Le truc c'est de trouver le juste milieu entre investir dans du bon matos et pas se ruiner avant d'avoir décroché le moindre contrat. 🤔 Bon courage en tout cas, et n'hésite pas à revenir vers nous si tu as d'autres questions. 💪

Senseur30 a mis le doigt sur un truc hyper important : l'aspect commercial ! On a vite fait de se focaliser sur la technique, le matos, la création pure... mais si on sait pas se vendre, c'est mort. Et c'est pas juste "savoir vendre", c'est aussi toute la paperasse, la gestion administrative, les devis... Une vraie galère quand on démarre. Faut pas hésiter à se former là-dessus, ou à se faire aider par un comptable, par exemple. Parce que le temps passé sur ces tâches, c'est du temps qu'on ne passe pas à créer. Et ça, c'est dommage.

Bon, je voulais vous donner des nouvelles après vos conseils. J'ai finalement suivi l'idée de Aria91 et Senseur30, en proposant mes services à des prix cassés pour une asso locale. Ca m'a permis de me faire la main sur un projet concret et d'avoir quelque chose de présentable. C'est clair que l'aspect administratif, c'est pas ma tasse de thé... J'ai passé des heures à comprendre comment faire une facture correcte... Mais bon, faut ce qu'il faut ! Prochaine étape : je vais bosser ma présence en ligne. Merci encore pour votre aide !

Super nouvelle, Echo17 ! C'est génial que tu aies pu décrocher une mission avec l'asso. C'est exactement le genre d'opportunité qu'il faut saisir pour se lancer. Et oui, l'administratif, c'est une horreur, mais malheureusement indispensable. Je comprends tout à fait que tu ais du mal à faire ta facture, la première est toujours compliquée, mais après ca ira tout seul t'inquiète. Pour continuer sur ce que disait Senseur30 et Hercule, et pour compléter ton approche, je pense qu'il y a des points clés à ne pas négliger, notamment en termes de stratégie marketing. C'est bien de bosser sa présence en ligne, mais encore faut-il savoir comment s'y prendre pour que ce soit efficace. D'après une étude de l'INSEE, 60% des auto-entrepreneurs dans l'audiovisuel déclarent avoir des difficultés à trouver des clients régulièrement. Ce qui signifie qu'il ne faut pas se contenter d'attendre que les clients viennent à toi. Il faut aller les chercher ! Perso, j'ai une approche particulière, je suis plus dans le hors des sentiers battus. Tu pourrais, par exemple, te spécialiser dans un niche particulière (vidéos pour les start-ups, les commerçants locaux, les artistes...) et développer une expertise reconnue dans ce domaine. Autre piste à explorer : le networking. Participe à des événements professionnels, des salons, des conférences... C'est l'occasion de rencontrer des prospects potentiels, de te faire connaître et de nouer des partenariats. Et comme dit Senseur30, le bouche-à-oreille, ça marche toujours bien. N'hésite pas à demander à tes clients satisfaits de parler de toi à leur entourage. Et enfin, n'oublie pas de te former en continu. Les techniques et les technologies évoluent très vite dans l'audiovisuel, il est donc important de rester à la pointe pour ne pas se faire dépasser. D'ailleurs, selon une enquête de Pôle Emploi, les réalisateurs qui suivent régulièrement des formations ont un taux d'emploi supérieur de 20% par rapport à ceux qui ne se forment pas. C'est un investissement sur le long terme, mais ça peut vraiment faire la différence.

Excellente initiative, Echo17 ! C'est un super début. Et pour la facture, t'inquiète, on est tous passés par là. Au début, c'est un peu prise de tête, mais après, ça roule. Aria91 a raison, la spécialisation, c'est une bonne piste. Moi, j'ai un faible pour les vidéos corporate, mais bon, chacun son truc. Sinon, pour la présence en ligne, tu penses faire un site web ou juste les réseaux sociaux ? Parce que perso, je trouve qu'un site, ça fait plus pro, mais c'est plus de boulot à maintenir. Bref, tiens-nous au jus !

Merci Aria91, Hercule, Teddy, pour vos conseils et votre soutien ! 👍 Ca motive à fond de voir autant d'entraide. Je vais essayer de mettre tout ça en application.

Clairement, Senseur30, c'est l'esprit ! On est tous dans le même bateau, autant s'entraider. Pour Echo17, je rejoins Teddy sur le site web. Même si c'est chronophage, ça crédibilise vachement. Un portfolio en ligne bien léché, c'est ta vitrine. Pense à un nom de domaine pro et un design soigné. Ça peut faire la différence auprès de clients potentiels. En parlant de présence en ligne, j'ai lu une statistique intéressante : 70% des clients potentiels dans l'audiovisuel regardent en priorité le site web d'un prestataire avant de le contacter. Donc, c'est pas du temps perdu. Les réseaux sociaux, c'est bien pour montrer ton travail au quotidien, mais le site, c'est ta carte de visite officielle. Et pour compléter l'aspect commercial dont on parlait, j'ai récemment suivi une formation sur la gestion de projet audiovisuel. Franchement, ça m'a ouvert les yeux sur plein de trucs. Savoir établir un planning réaliste, gérer un budget, négocier avec les fournisseurs... c'est essentiel pour éviter les galères et assurer la rentabilité de ses projets. Je sais que c'est pas le côté le plus fun du métier, mais ça fait partie du jeu. 😉 Autre chose à considérer : la question de l'assurance. Être freelance, c'est aussi prendre en compte les risques potentiels. Un accident sur un tournage, un problème de matériel... ça peut vite coûter cher. Une assurance responsabilité civile professionnelle, c'est un minimum pour se protéger. J'ai même lu que 45% des auto-entrepreneurs ne sont pas assurés correctement. C'est un peu jouer avec le feu, à mon avis. Et concernant les tarifs, il faut savoir se positionner. Ne pas hésiter à regarder ce que font les concurrents, mais ne pas brader ses services non plus. C'est un équilibre à trouver. Perso, j'ai tendance à me baser sur le coût de revient de mes projets (matériel, temps passé, charges...) et à ajouter une marge raisonnable. L'idée, c'est de gagner sa vie correctement, sans pour autant être hors marché. Bon courage pour la suite, Echo17! 💪

Hello Echo17, C'est super que tu avances ! Juste par curiosité, l'asso locale pour laquelle tu as bossé, c'est quel genre d'asso ? Et le projet en question, c'était quoi exactement ? Histoire de mieux visualiser le type de boulot que tu as fait et peut-être te donner des conseils plus ciblés pour la suite. 🤔