Quelles sont les avancées de la robotique et leur impact sur les entreprises ?
Pour lancer le débat, je pensais qu'on pourrait lister les différents types de robots qu'on voit poindre le bout de leur nez dans les boîtes, et comment ça change l'organisation du travail. 🤖 Genre, est-ce que vous voyez plus de cobots (les robots collaboratifs) ou des trucs full automatisés ? Et niveau boulot, est-ce que ça crée plus de jobs que ça en supprime, ou c'est l'inverse ? 🤔 Je suis curieux d'avoir vos retours, surtout si vous êtes dans des secteurs où la robotisation est déjà bien avancée. 😉
Commentaires (11)
C'est marrant que tu parles de cobots, j'ai vu une conférence l'autre jour où ils expliquaient comment un fabricant de jouets utilisait des robots collaboratifs pour peindre les figurines. Complètement dingue ! Sinon, pour revenir au sujet, dans mon secteur (l'affiliation), on utilise pas mal d'outils automatisés pour l'analyse de données et le reporting. C'est pas de la robotique pure, mais ça allège pas mal la charge de travail et permet de se concentrer sur des tâches plus stratégiques. Après, côté création ou relationnel, là, l'humain reste indispensable, pour le moment en tout cas...
Excellente initiative de lancer ce débat, Fauve ! Et intéressant le retour d'Aria91 sur l'automatisation dans l'affiliation. Effectivement, la frontière est parfois floue entre simple automatisation logicielle et robotisation pure. De mon côté, en tant que responsable marketing sensoriel, je m'intéresse surtout à la manière dont la robotique peut améliorer l'expérience client, que ce soit en point de vente ou dans des environnements de service. On voit par exemple des robots conversationnels de plus en plus performants, capables de comprendre les besoins des clients et de leur proposer des solutions personnalisées. Mais au-delà de ça, je pense qu'il y a un vrai potentiel dans l'utilisation de robots pour créer des expériences sensorielles immersives. Imaginez un robot barista capable de préparer un café avec un arôme sur mesure en fonction des préférences du client, ou un robot sommelier capable de conseiller un vin en fonction du plat choisi et de l'ambiance du restaurant. Bon, ok, c'est peut-être un peu futuriste, mais je suis convaincu que c'est la direction dans laquelle on va. L'important, c'est de ne pas tomber dans le gadget et de vraiment apporter une valeur ajoutée au client. Par exemple, on pourrait imaginer un robot capable de détecter les émotions d'un client grâce à la reconnaissance faciale et d'adapter son discours en conséquence. Ça pourrait être très utile dans le secteur du service client, mais il faut faire attention à ne pas être trop intrusif. Pour revenir à la question de l'impact sur l'emploi, je pense que la robotisation va surtout transformer les emplois existants plutôt que de les supprimer complètement. Il faudra former les employés à utiliser ces nouvelles technologies et à travailler en collaboration avec les robots. Mais il est clair que certaines tâches répétitives et pénibles vont disparaître, ce qui peut être une bonne chose. Et pour creuser un peu plus le sujet, je suis tombé sur cet article qui parle des avancées de la robotique, ça pourrait alimenter notre réflexion. J'aimerais bien qu'on parle plus en détail de l'éthique autour de la robotique, parce que c'est un truc qu'on oublie souvant, mais c'est important d'anticiper les dérives. Nan parceque bon, on n'est pas dans Terminator, mais on ne sais jamais ce qui peut arriver.
Robot barista, robot sommelier... on dirait un film de science-fiction 🤩! J'adore l'idée d'expériences sensorielles augmentées par la robotique. C'est vrai que l'article sur l'éthique est un point clé, et on a vite fait de l'oublier. Mais bon, avant de s'inquiéter des dérives, on pourrait déjà s'assurer que les robots ne piquent pas le job de ceux qui ont du mal à se reconvertir... C'est aussi une question d'éthique, non ? 🤔 En tout cas, merci pour le lien, je vais lire ça attentivement. 💻
C'est clair que le robot barista, ça fait un peu Star Trek au départ... Mais si on creuse, la robotique peut réellement aider, en particulier pour ceux qui galèrent à se retourner professionnellement. Faut juste bien l'utiliser. Le truc, c'est de pas voir les robots comme des remplaçants, mais comme des outils pour améliorer les conditions de travail et créer de nouvelles opportunités. Si on prend le secteur agricole par exemple, les drones qui analysent les champs, c'est génial pour optimiser les cultures et réduire l'utilisation de pesticides. C'est plus efficace, plus écologique, et ça permet aux agriculteurs de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. Bon, après, faut former les gens à utiliser ces technologies, c'est sûr. Mais c'est un investissement qui peut rapporter gros. En plus, en 2024, avec l'essor de la robotique et l'intégration de l'IA, on voit des modalités de soins et de diagnostics transformées et une précision extrême en chirurgie. Moi, ce qui m'inquiète plus, c'est le manque de réflexion sur les conséquences sociales de la robotisation. On parle beaucoup de compétitivité, de réduction des coûts, d'amélioration de la qualité, mais on oublie souvent l'humain. Faut pas que la course à l'automatisation se fasse au détriment des emplois et des compétences. C'est là où la robotique collaborative peut jouer un rôle. En créant des interactions intuitives et conviviales entre l'homme et la machine, on peut préserver l'emploi tout en améliorant la productivité. C'est un enjeu important, et il faut qu'on se penche dessus sérieusement. Au lieu de flipper sur des scénarios catastrophe, on devrait se concentrer sur la façon d'accompagner les mutations et de garantir une transition juste pour tous.
Tellement vrai.
👍 Absolument. 💯
Totalement d'accord avec l'idée que la robotique collaborative peut être une solution pour préserver l'emploi. Au lieu de penser en termes de remplacement, on devrait imaginer des scénarios où les robots complètent le travail humain, surtout pour les tâches les plus physiques ou répétitives. Mais bon, faut pas non plus se voiler la face, il y aura forcément des ajustements à faire. La question, c'est comment on accompagne ces changements pour que personne ne soit laissé sur le carreau ? C'est là où les politiques de formation et de requalification professionnelle sont vraiment importantes. Et puis, faut peut-être aussi repenser le modèle économique pour que la richesse créée par la robotisation soit redistribuée de manière plus équitable. C'est un débat de société quoi. 🤔
C'est exactement ça. L'accompagnement des changements, c'est la clé. On parle souvent de la nécessité de former les gens aux nouvelles technologies, mais je pense qu'il faut aussi les aider à développer des compétences plus transversales, comme la créativité, la résolution de problèmes complexes, ou l'intelligence émotionnelle. Des trucs que les robots ne pourront pas (encore ?) faire. Et pour la redistribution des richesses, ouais, c'est un vrai défi. Faut pas que la robotisation creuse encore plus les inégalités. On pourrait imaginer des systèmes de taxation plus justes, ou même un revenu de base universel, pour garantir un niveau de vie décent à tous. Bon, après, c'est un autre débat... Mais c'est des questions qu'on doit se poser sérieusement.
Tout à fait d'accord avec l'idée de repenser la formation et de développer des compétences que les robots ne peuvent pas remplacer. Ça me fait penser à une vidéo que j'ai vue récemment sur les "soft skills" et leur importance dans le monde du travail de demain :
Ceux qui sauront s'adapter et utiliser leur intelligence émotionnelle et leur créativité auront une longueur d'avance. Et pour le revenu de base, c'est clair que c'est une piste à explorer sérieusement pour éviter une explosion des inégalités.
C'est super pertinent, cette vidéo sur les soft skills ! Je pense qu'il faut vraiment marteler ce message, surtout auprès des jeunes qui arrivent sur le marché du travail. On a trop tendance à valoriser les compétences techniques et à négliger tout le reste. Après, même avec toutes les soft skills du monde, si la richesse créée par la robotisation est accaparée par une minorité, ça risque de poser de sérieux problèmes. Le revenu de base, c'est une idée intéressante, mais ça nécessite une vraie réflexion sur son financement et sa mise en œuvre. C'est pas un truc qu'on peut improviser du jour au lendemain...
Clair, les soft skills c'est hyper important, et la vidéo le montre bien. Mais bon, faut pas non plus se leurrer, ce n'est pas la panacée universelle. Si on a des générations entieres qui sont formées pour être créatives et avoir de l'intelligence émotionnelle, mais qu'il n'y a plus de taf derrière parce que tout est automatisé et que les richesses sont mal distribuées, on va droit dans le mur. C'est pour ca que le revenu de base, même si c'est un sujet compliqué, mérite d'être creusé sérieusement. On ne peut pas juste dire aux gens de se former et de s'adapter sans leur offrir une perspective viable pour l'avenir.